Archives novembre 2014

    • L’offre de livres numériques à destination des bibliothèques de lecture publique : un regard international
    • Publié le 3 novembre 2014 par Gérald Kembellec dans
    • Séance 4 : la situation en Suisse Date de l’événement:Jeudi, 6. Novembre 2014 – 13:00 Organisateur(s):  enssib, laboratoires DICEN-CNAM et ELICO, Arald Type d’événement:  Séminaires Cet événement international analysera la situation du livre numérique en bibliothèque de lecture publique en France et à l’étranger.Plusieurs experts du domaine partageront les résultats d’études réalisées en Amérique du Nord et en Europe. Organisées et animées par Benoît EPRON (enssib-ELICO), Hans DILLAERTS (Université Paul Valéry – LERASS CERIC), Antoine FAUCHIÉ (ARALD) et Ghislaine CHARTRON (DICEN-CNAM), toutes les séances seront construites autour de l’intervention d’une personnalité invitée suivie d’un débat avec les organisateurs puis d’un temps de questions-réponses. Ce séminaire interrogera : L’articulation entre l’offre éditoriale commerciale et celles des bibliothèques : à l’instar du livre papier, quels modèles économiques et législatifs seront nouvellement définis pour le livre numérique ? Quel dialogue entre éditeurs et bibliothèques ? Les modalités d’acquisitions : dans le marché du livre numérique, quelle place tiendront les librairies ? Le financement des acquisitions de livres numériques, les modalités de l’intervention publique ; Les compétences professionnelles des bibliothécaires : technicité, formats, supports de lecture mais aussi politiques d’acquisition ; La bibliothèque comme acteur politique et culturel de la médiation de collections de livres numériques. Ce séminaire est ouvert à tous, professionnels et chercheurs, intéressés par ces questions. Il se déroule à l’enssib (pour s’y rendre). Programme complet
    • 5e conférence « Document numérique et Société »
    • Publié le 3 novembre 2014 par Gérald Kembellec dans
    • Open data, Big data : quelles valeurs, quels enjeux ? 4 et 5 mai 2015 – Rabat – Maroc. L’internet des objets, l’interconnexion généralisée transformant les services et les comportements des internautes en fournisseurs de données et d’une manière générale les évolutions technologiques liées aux capacités computationnelles qui traitent l’information sur toute sa chaîne de transformation nous pressent d’interroger l’effervescence actuelle autour du « Big Data », qui anime autant les milieux d’affaires que les gouvernements et les scientifiques d’origine disciplinaire variée. Buzzword ayant le vent en poupe ces trois dernières années, le « Big Data » souvent désigné comme une « mine d’or » qualifiant un « océan mondial de données » révèle la prise de conscience de l’expansion rapide d’un nouvel univers constitué par des données dont le traitement formerait un monnayable eldorado. Le « Big Data » vise ainsi l’exploitation massive de données informationnelles présentes, fabriquées ou générées en ligne, dans des cadres juridiques en cours de définition et de négociation. Au terme « Big Data », se trouve fréquemment associé « Open Data » qui apparaît comme une condition associée, au moins dans la sphère publique. Dans le domaine de la recherche, le mouvement du libre accès aux résultats scientifiques – que ce soit les textes ou les données – est en phase avec cet enjeu majeur d’exploration et d’interconnexion sans limites de ces données, au cœur des promesses du datamining. Les démocraties se sont emparées elles-aussi de cet idéal d’ouverture et construisent un accès renouvelé aux données publiques projetant des valeurs de transparence, de participation citoyenne,  de soutien à l’innovation économique. Ceci démarre en 2009 par l’ouverture du site data.gov de l’Open Government d’Obama, puis encouragé par l’Union Européenne le mouvement se traduit en France par le développement actuel de la « Plateforme ouverte des données publiques françaises », data.gouv.fr. Il en est de même pour le Maroc à travers sa plateforme dédiée aux données publiques (data.gov.ma). Ainsi, la France se classe 10e sur 77 dans le baromètre 2013 de l’Open Data Institute  et le Maroc 40e . Enfin, autre phéno­mène et non des moindres en terme de prolifération des données, celles livrées gratuitement par les internautes sur les réseaux sociaux, services, blogs, sites web d’agrégation d’informations vidéos, images, textes…et potentiellement exploitables par le marketing et tous les services dont les objectifs reposent sur la réalisation de prévisions. Au sein des entreprises, de nombreux projets voient le jour dont les visées vont d’une simple optimisation des performances à une transformation profonde des modèles d’affaires. La visualisation de données devient un enjeu associé à l’efficience du pilotage. La possibilité d’une prise de décision en temps réel et l’enrichissement des données habituelles par de nouvelles sources de granularités plus fines permettent d’ajuster la relation continue avec le client, de concevoir des produits et services affinés en fonction du profil et des besoins. Enfin, nombreuses sont les opportunités liées à l’accès, au volume et à la nature des données pour les gouvernements à travers la santé, la sécurité, le climat, l’urbanisme, les médias, l’emploi et autres domaines qui structurent profondément une société, voire les […]
    • 7th International Conference on Qualitative and Quantitative Methods in Libraries
    • Publié le 2 novembre 2014 par Joumana Boustany dans
    • Qualitative and Quantitative Methods (QQM) are proved more and more popular tools for Librarians, because of their usefulness to the everyday professional life. QQM aim to the assessment and improvement of the services, to the measurement of the functional effectiveness and efficiency. QQM are the mean to make decisions on fund allocation and financial alternatives. Librarians use also QQM in order to determine why and when their users appreciate their services. This is the start point of the innovation involvement and the ongoing procedure of the excellent performance. Systematic development of quality management in libraries requires a detailed framework, including the quality management standards, the measurement indicators, the self-appraisal schedules and the operational rules. These standards are practice-oriented tools and a benchmarking result. Their basic function is to express responsibly the customer (library user) -supplier (library services) relationship and provide a systematic approach to the continuous change onto excellence. The indoor and outdoor relationships of libraries are dependent of their communication and marketing capabilities, challenges, opportunities and implementation programmes. Site de la conférence : http://www.isast.org/qqml2015.html